dératiseur-désinsectiseurPas de diplômes mais des certificats

La maîtrise des nuisibles à Bordeaux reste un secteur professionnel pour lequel aucun diplôme spécifique n’existe. Pour exercer dans cet univers, il faut à la fois disposer de certaines prédispositions et avoir suivi un cursus qui permette de s’adapter rapidement.

Ainsi, nous conseillons les prédispositions suivantes :

  • Avoir le permis B (c’est un métier pour lequel on se déplace toute la journée)
  • Avoir de bonnes conditions physiques (il arrive qu’on reste debout longtemps, qu’on porte des charges lourdes…)
  • Se sentir à l’aise avec les nouvelles technologies (tablette, ordinateur et smartphone font partie de notre quotidien pour la remontée des données)
  • Ne pas avoir de phobies ou d’allergies
  • Etre curieux

Concernant les diplômes, comme il n’en existe pas de propres à notre métier, nous préconisons un cursus scientifique, dans la filière hygiène-environnement ou dans la protection de la nature. À l’issue de ce parcours, il existe des certificats pour se spécialiser. Ils sont à passer à titre individuel ou via l’entreprise accueillante. Il en existe deux essentiellement :

Sur ces deux certifications fondamentales pour acquérir les bases dans la lutte contre les rats à Toulouse, seul le Certibiocide est obligatoire. En effet, il permet de connaître les produits et leur utilisation. Mais il ne donne pas les clefs de notre métier !

Une formation dératiseur en autodidacte

Une fois recruté, chaque technicien est globalement formé par lui même ou par sa société. Il peut ainsi compléter ses connaissances en obtenant des habilitations supplémentaires. Elles peuvent notamment concerner une meilleure connaissance du bâtiment et des méthodes de travail.  Les habilitations en électricité, risque chimique ou santé-sécurité sont notamment intéressantes.

Se perfectionner passe aussi par de la formation interne. C’est ce que nous proposons régulièrement chez LGH, expert en désinsectisation à Nantes. Cela peut concerner un environnement spécifique comme les nuisibles dans l’IAA (Industrie agroalimentaire) ou des espèces en particulier. Dans la mesure où nos parcours sont variés et se complètent, on s’apporte chacun des compétences et connaissances. Nous avons par exemple des experts en entomologie. Cette science permet une meilleure connaissance des insectes nuisibles. En maîtrisant leur cycle de vie et leurs comportements, nous mettons en place les bonnes stratégie qui contribuer à rendre la lutte efficace.

Se former grâce à la veille

Parallèlement aux formations (externes et internes), la veille constitue un autre canal d’apprentissage pertinent. En effet, les règlementations et les méthodes évoluent. Il est donc nécessaire de se tenir informé. Chez LGH, nos équipes s’informent avec la revue N&PI (Nuisibles parasites informations) et le site hamelin.info. Nous nous rendons également à des événements professionnels comme le salon Parasitec . Cela nous permet de rencontrer d’autres professionnels et d’échanger sur des problématiques communes. Nous échangeons également avec nos fournisseurs pour être au fait des nouveaux produits et matériels.

En conclusion, alors que l’étape de formulation des vœux dans Parcoursup est bientôt close, vous savez maintenant quelle voie choisir si vous envisagez d’exercer dans le secteur de la lutte contre les nuisibles.

Si vous souhaitez en savoir plus sur le métier de dératiseur à Bordeaux, Nantes et Toulouse, contactez-nous !

 

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